Ils se regardaient à chaque instant…
Quand il l’a regardée danser du coin de l’oeil…
Quand elle a dansé pour qu’il la voie…
Ils n’avaient pas besoin de grandes caresses, seulement de celles où leur peau était imprégnée de l’odeur de l’autre…
Le plus triste, c’est qu’ils savaient tous les deux qu’ils étaient plus heureux avant…
Quand ils ne savaient pas quand il était temps de partir.
Alors le jour où ils se sont dit au revoir…
Ils se sont promis de ne plus jamais se dire bonjour. ….
Elle s’est remise à danser pour lui…
Il recommence à la regarder du coin de l’oeil…
Heureux ?
Vous me posez la question alors que j’ai encore la cicatrice…
Quand j’ai encore un sourire en me rappelant combien tes coins étaient doux…
Quand, les nuits où les gobelins me rendent visite, je n’aspirais qu’à ne pas me réveiller pour continuer à te sentir à mes côtés…
Heureux ?
Je t’ai rencontré…
Je t’ai souri…
Je t’ai caressé…
J’étais heureux, oui, je l’étais, après tout ce que j’ai osé, et même si j’en paie le prix aujourd’hui…
Vous savez ?
Je n’arrêterai jamais d’essayer d’être heureux à nouveau.
Reste là…
Au bord du sommeil…
Aux heures les plus sombres…
Quand la réalité…
n’est qu’un instant…
Et la fantaisie m’endort…
Reste là…
Au bord de ma vie…
Pour que je puisse croire
Que rien n’est imaginé
Et tout est réel
Reste là…
Dans mon rêve
Que je vais supplier l’univers
Pas pour me réveiller.
Muy buena entrada!! En la piel; brota la más profunda tristeza. Un abrazo.
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Gracias¡¡¡¡¡
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