Et c’est ainsi que tout a commencé, une note audio me remerciant pour un simple texte, dans lequel il décrivait une nuit pas si simple mais oui, incroyable, et ces mots… peut-être que ce n’était pas seulement les mots, peut-être que c’était sa voix, pleine de vie et d’envie d’en profiter, mais ce qui ne fait aucun doute, c’est qu’il m’a captivé.
Tout cela, après quelques jours, avec l’espoir de se retrouver pour cette bière, de connaître peut-être à nouveau cette agréable sensation d’être à l’aise avec l’univers, d’écouter des idées claires, nées de la conviction que c’est la bonne chose à faire, quelque chose qui est difficile à trouver en ces temps où il est difficile d’être soi-même, en ces temps où l’individualité est sous-estimée et où la seule priorité est d’être tous pareils, aussi semblables que possible. …c’est quelque chose comme le simple commentaire qu’il aime les chemises d’homme, oui je sais, c’est idiot, mais pour moi, compte tenu du fait que je n’ai jamais ou presque jamais porté ou porterai une chemise, cela m’a captivé, c’est quelque chose comme une déclaration d’intentions, c’est comme sa signature particulière je dirais.
Cela nous donne la vie…
Et maintenant vous me voyez ici, sur cette terrasse de bar, à côté de la plage, avec le masque à mes côtés, ce nouvel accessoire que nous avons créé pour cette nouvelle scène que nous vivons, les regarder passer, penser à elles, au mystère qu’elles représentent pour moi, à ces femmes qui ont été uniques pour moi, à celles qui, comme elle, me dérangent d’une manière qui me fait sentir, à celles qui me font bégayer, à celles qui me font bégayer, à celles qui me donnent la vie.
Cela nous donne la vie…
Je pense à mon travail, aux jours où j’arrive et où, lorsqu’on me demande comment ça s’est passé, je ne peux que dire que ça s’est bien passé, alors qu’en fait ça s’est moins bien passé, à ces jours où mon travail prend plaisir à me frotter le visage de ce que cette société fait à ceux dont elle ne peut s’occuper comme il faut, à ce sentiment que je voudrais faire plus mais que je ne peux pas, et aussi à ces jours, où j’ai seulement écouté, conseillé peut-être si on me l’a demandé et toujours en étant clair, que personne ne traverse cette vie de la même manière, où un merci et un simple regard de gratitude, me font arriver pleine de force pour un autre jour.
Cela nous donne la vie…
Gardez les yeux grands ouverts et votre cœur prêt, parce que vous ne devinerez jamais qui remplira votre cœur, qui, sans faire semblant, sans savoir, sans vouloir, sans se rendre compte, qu’un simple sourire, une simple question de confiance, créent en vous le sentiment que ce n’était pas un jour comme les autres.
Cela nous donne la vie…
Une plante avec un nouvel ennemi, avec la peur qui grandit et grandit de l’inconnu, et avec la confiance qui grandit et grandit encore plus, parce que tu es avec eux, ceux qui te donnent la vie… avec qui ça ne compte plus, peu importe le virus, la bactérie, le protozoaire ou le ver de l’espace que tu affrontes, si tu les affrontes, avec qui une simple bière devient une charge de batterie vitale pour moi, en les voyant rire, en écoutant leurs projets, en leur souhaitant toute la force nécessaire pour affronter tout ce qu’ils désirent.
Cela nous donne la vie…
Cela me donne la vie de les avoir connus, cela me donne la vie de continuer à être surpris par la façon dont je continue à aimer chacun d’entre eux, cela me donne la vie de continuer à m’émerveiller de pouvoir ressentir du plaisir pour un simple ou pas si simple câlin, parce que cela a été donné du plus profond, cela me donne la vie de voir vos larmes pour faire la fête avec vous, parce que tu n’es pas seul, parce que tu es une partie et tout d’un coin de moi, cela me donne la vie pour continuer à rêver, pour croire que je suis capable, parce que je sais, pour continuer à aimer, pour continuer à pouvoir donner, dans mon travail, dans ma feuille blanche, dans cette bière en attente, dans cette photo que je dois encore prendre.
Cela nous donne la vie…
Et quand tu arrives, comme moi, à l’automne de ta vie, même si, parfois, tu as l’impression d’être au printemps, tu sais que certaines normes, idées, ce qui est considéré comme acquis, est faux, ceux qui le maintiennent comme quelque chose d’inévitable ont tort, parce que tu sais que certaines choses sont éternelles, sans âge, sans normes, sans règles, parce que tu sais que les rires avec ceux qui te comblent, les câlins, les larmes qui sont versées, tout ça…,
Tout cela nous donne la vie.
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