L’une des raisons principales, pour ceux d’entre nous qui ont besoin d’écrire sur des feuilles blanches, mille et une pensées, des rêves que nous croyons parfois impossibles, des expériences qui naissent de la douleur la plus intense possible, du mensonge le plus pieux, de la vérité la plus cruelle, et je pourrais même en ajouter d’autres, nous en avons besoin… et pourtant, parfois, nous ne pouvons pas.
On fait chou blanc ?
Non.
C’est juste le poids écrasant et lourd que nous avons assumé en un instant d’un milliard de mots et d’idées qui peinaient à émerger, face à toutes les éventualités possibles, dans la vie de quelqu’un qui ose la vivre.
Et oui, je suis l’une de ces personnes, je suis l’une de ces personnes qui ont pleuré en regardant une centaine de films romantiques, je suis cette personne, il y a toujours quelqu’un de proche, surtout quand on ne veut pas dire qu’on est soi-même, qui se retrouve avec le numéro à moitié composé d’un numéro qu’il connaît presque par cœur, mais dont il laisse toujours le dernier sans le presser, je suis l’une de celles qui écoutent les mêmes chansons qu’avant, mais qui sonnent différemment, comme si les paroles étaient différentes, mais la seule chose différente est que maintenant leur sens fait mal.
Le principal danger est d’être attiré par un certain type de tristesse et d’en devenir dépendant.
Certaines personnes se cachent derrière mille et une relations éphémères parce qu’elles ont peur d’essayer et d’échouer…..
Il y en aura d’autres qui croiront que leur temps est terminé, qu’il est maintenant temps d’accepter ce que le destin a déjà accumulé pour lui-même, un certain sentiment d’échec même s’ils ont essayé mille fois plus.
Et si mon destin n’est pas ce que je veux ?
Et s’il s’avère que je dois être juste… un ami… un partenaire… une bonne personne… ?
Mais je veux aimer quelqu’un !!!!
Je veux te dire que je t’aime, pour être la personne extraordinaire que tu es, pour la façon dont tu es avec moi…..
Je veux te murmurer à l’oreille… Je t’aime… parce que tu remplis, en un seul instant, une journée de chaos et de désespoir.
Je veux te dire je t’aime, en marchant, en me tenant la main peut-être, en prenant un café le matin, moi lisant, toi regardant je ne sais quoi à la télé, en levant les yeux, en me souriant et en le disant tout simplement.
Et au lieu de cela…
Eh bien, le temps, cette grandeur que nous insistons pour contrôler, voire dominer, pauvres de nous de le croire, se charge, disons de nous remettre à notre place, de nous faire voir que ce qui nous a fait si mal, comme si on nous avait cloué quelque chose, ne fait plus mal que de façon moins cruelle, peut-être que plus tard, ça ne fera plus mal, peut-être qu’on l’oubliera… nooon ! !!, on sait que ça ne pourra jamais arriver, parce que alors…..
Peut-être que je ne pourrai plus te dire je t’aime de la même manière que j’aurais voulu continuer à te le dire, mais je me suis engagée, à continuer à aimer, un jour comme aujourd’hui, j’ai arrêté de marcher à l’heure du crime, pour pleurer des silences qui blessent moins que les mots qui ont été dits, un jour comme aujourd’hui, j’ai décidé de continuer à aimer.
Et maintenant, ce je t’aime….
C’est pour vous.
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